[1] Freud, S. (1915-17). « Leçons d’introduction à la psychanalyse », in Œuvres Complètes, Vol. XIV, Paris, PUF, 2000, p. 382.
[2] Lacan, J. (1966-67). Le Séminaire, Livre XIV, La logique du fantasme, ALI, inédit, p. 12.
[3] Amorim (de), F. Le langage de l’angoisse en psychanalyse, 2020, https://www.fernandodeamorim.com/details-le+langage+de+l+angoisse+en+psychanalyse+-+paris+9eme-539.html
[4] Freud, S. (1919). « Un enfant est battu », in Œuvres Complètes, Vol. XV, Paris, PUF, 2012, pp. 115-146.
[5] Castanet, D. « Fantasme et réel ». L’en-je lacanien, 2007/2, n° 9, p. 109.
[6] Freud, S. (1915-17). Introduction à la psychanalyse, Paris, Payot, 2001, p. 454.
[7] Ibid., p. 443.
[8] Lacan, J. in Leclaire, S. « L’objet dans la cure », Congrès d’Aix-en-Provence (20-23 mai 1971). Lettres de l’École freudienne, 1972, n° 9, p. 446.
[9] Sakellariou, D. « Traversée du fantasme versus identification au symptôme ». Psychanalyse, 2013/3, n° 28, p. 22.
[10] Lacan, J. (1968). Résumé du séminaire : « La logique du fantasme », p. 2, https://ecole-lacanienne.net/wp-content/uploads/2016/04/1968-07-00.pdf
[11] Castanet, D. Op. cit., p. 112.